Masters et Johnson, gynécologue et psychologue, on écrit un rapport sur le comportement sexuel en 1966. Cette étude de plus de 10 ans montre que les américains sont en grande majorité sexuellement frustrés par manque tragique de connaissances et d'expressions. Ils pointent l'importance sur la jouissance clitoridienne (chez la femme !).
Alors à vous de choisir entre 'brouter le gazon' ou 'prendre l'hostie à la chapelle', mais vous ne devez y échapper.
Des tests scientifiques ont montré que la femme produit des œstrogènes en grande quantité pendant les rapports sexuels. Ils rendent les cheveux brillant et la peau douce. Des rapports sexuels satisfaisant réduisent les soucis dermiques (démangeaisons, dermites, imperfections...) car la transpiration nettoie la peau et ouvre les pores.
Faire l'amour étire tous les muscles, et en produisant des endorphines, est une véritable cure anti dépression. Pourquoi s'en priver ?
je ne vous parlerais pas aujourd'hui de tout le fructose et les oligo-éléments que l'homme peut produire à cette occasion, un bon complément alimentaire pour une vie saine et en bonne santé.
N'en déplaise aux puritains, la sexualité de groupe (comprendre plusieurs personnes ayant des relations sexuelles au même moment et au même endroit - tout le monde baise avec tout le monde pour le dire simplement) remonte aussi loin que nos souvenirs veulent bien nous porter.
Déjà dans la Grèce antique les rituels de Komos (orgie, ripaille...) promouvaient une certaine libération pour ne pas dire une libération certaine. Ne parlons pas de Bacchus (les fameuses bacchanales) ni des satyres. Tout un pan de notre histoires que nous avons oubliés jetant l'anathème de dépravés sur ceux qui goûtent à ces plaisirs multiples.
Pourtant que de plaisirs a découvrir ou redécouvrir.
